Paroles de coureurs
« Le bilan est positif. Nous courrions tous les quatre ensemble pour la première fois et l’alchimie s’est créée et renforcée au fil des jours. Je pense que nous serons au top pour le prochain Raid in France… Aujourd’hui, les Raidlight sont supérieurs, leur victoire est largement méritée. Félicitations aux organisateurs et aux bénévoles pour leur réactivité et leur gestion de la course. C’est eux qui ont été les plus impactés par les conditions météo. Raid in France a prouvé une fois de plus qu’elle était la plus belle course de France », Lionel Jacoud, Raid74 Maxirace.org 2 (20).
« La première partie de course était vraiment très sympa, même si nous avons été déçus que la course s’arrête. Mais que faire contre le mauvais temps ! On a vécu de grands moments : le canyon de la Borne… de nuit et une troisième journée sous la pluie plutôt dantesque », Andrej Mesner – Leteci Nomadi Vatapu (22).
« Dommage que nous ayons pris du retard rapidement dans la première partie de course. En plusieurs endroits, nous avons perdu du temps bêtement, une faute d’orientation, un arrêt en AT plus long que prévu… Tout ces petites choses mises bout à bout ont fait que nous sommes passés dans des endroits superbes de nuit, comme sur les Causses où nous avons traversé un gros orage… « , Nicolas Seguin, 400team Raidlight 2 (19).
« Personnellement, j’aime bien les courses au profil montagneux… c’est pourquoi j’avais adoré l’édition de 2012, avec un départ mémorable dans les Ecrins. Là, j’étais un peu dubitatif mais franchement c’était loin d’être plat, bien au contraire. Avec Raid in France, où que l’on soit, l’esprit nature est toujours respecté. C’est la grande force de cette épreuve… même dans des coins plus urbanisés, Pascal trouve des sentes incroyables », Alex Pons, Lafuma (12).
« Raid in France, c’est une sacrée balade en nature ! Cette année, la course a été marquée par des conditions météo difficiles ce qui nous a empêchés de profiter pleinement des paysages. Mais les caprices de la nature ont montré à tout le monde que les organisateurs de Raid in France sont très pro, ils ont su gérer parfaitement les coureurs en prenant les bonnes décisions. Ils ont été clairvoyants et responsables en matière de sécurité. Peu de courses sont organisées de cette manière. Côté sportif, nous sommes partis sans objectif de classement mais petit à petit, on se met dans la compétition et on en veut toujours plus. Nous ne sommes pas une équipe physique mais chacun d’entre nous possède des qualités complémentaires nous permettant de toujours progresser. Bref, on est heureux ! », Christophe Aubonnet, Intersport (9).
« C’est notre 3e participation à Raid in France et on s’améliore d’édition en édition au niveau du physique, de la gestion de la logistique et de l’orientation. On a rendu une copie propre cette année ! Bien sûr, on est frustré de la suppression de plusieurs sections. Avant le départ, ce matin, on était dans l’état d’esprit que le raid était terminé mais petit à petit, on s’est remis dans la course jusqu’à être hyper émus en apercevant la ligne d’arrivée sur la plage. Une fois encore, en nous préparant une vraie arrivée, Pascal a montré que Raid in France est la plus belle course en France… voire au-delà », Pierre François, Passion Raid Nantes Mag’s (4).
« On a accueilli deux nouveaux coéquipiers dans l’équipe cette année mais l’intégration s’est faite rapidement. Nous partageons le même état esprit : courir pour le plaisir de vivre une aventure humaine et sportive ensemble. Raid in France offre cette opportunité grâce à une équipe de bénévoles dévouées et très sympas. On a pris un énorme plaisir dans le canyon de Chassezac : on était seuls dans la nuit, on éclairait les parois avec nos frontales, c’était magique… », Nicolas Mitton, Yogiteam Maxi-Race Terre de running (27).
« C’est extra ! Raid in France doit être organisé chaque année ! Même l’épisode de mauvais temps a permis de consolider les liens dans les équipes et de vivre une expérience hors norme ! », Sébastien Plévy, Maxyrace Oneone (5).
« Un parcours engagé et technique, c’est la définition que l’on m’avait faite du RIF. On ne m’avait pas menti ! Je pense que l’aspect mental est aussi important que le physique. Nous avons perdu notre orienteur dès Sainte-Eulalie et avons dû nous surpasser pour compenser cette perte. Autre regret, l’annulation de la spéléo. J’espère que dans la prochaine édition les organisateurs accorderont une large place à cette discipline », Raphaël Raymond, Withspiritfrborntoaventure (3).
« J’ai bouclé la boucle : après une expérience de bénévole en 2012, j’ai couru mon premier raid long cette année en participant à Raid in France. Avec mes coéquipiers, nous avons atteint notre objectif : arriver au Grau du Roi dans la bonne humeur. Pari gagné grâce à une course exigeante où l’humain demeure essentiel, entre coéquipiers et aussi entre les coureurs et les bénévoles », Francis Gaillard, Pole Ressources Sport Nature (11).
Copyright : Jean-Jacques Raynal
